Qui croise un jour une carline pourra difficilement l’oublier. En montagne, sur un chemin sec, caillouteux, inondé de soleil du sud ou du centre de l’Europe, vous ne pouvez pas la manquer. Cette plante troublait déjà les anciens. Apprenez à la connaître en lisant mon article paru en novembre 2019 dans le magazine Plantes & Santé !
Vous y apprendrez que son petit nom (jusqu’à la Renaissance) était « Chamaeleon ». Pourquoi ? Peut-être à cause de ses fameuses bractées, aux couleurs et aux formes multiples. Particularité que certains pourraient rapprocher – en allant un peu vite – de la capacité du caméléon à changer de couleur.
Acné, mains craquelées, brûlures… Jusqu’au XIXe siècle, les racines de carlines sont surtout utilisées pour le soin de la peau. Accessoirement, les Chamaeleon pouvaient aussi servir à traiter la lèpre, la tuberculose et la peste. Au XIXe siècle, la carline disparaît de la scène médicale. Pourquoi ? Découvrez-en plus en lisant mon article 🙂